Le témoignage de Francois Lugand (Arsène Taxand)

Le témoignage de Francois Lugand – Arsène Taxand

1- Bonjour François, pouvez-vous vous présenter en quelques lignes ?
Je suis âgé de 49 ans, heureusement marié (avec une sportive !) et j’ai 6 enfants dont les âges s’étendent de 3 à 22 ans. Ma profession d’avocat me donne l’occasion de conseiller mes clients, généralement des entreprises, sur les aspects fiscaux de leurs opérations. C’est aussi l’opportunité d’exercer au quotidien des fonctions de management d’équipe. Je suis né en Bretagne du nord (Dinard) au bord de la mer, je tiens beaucoup à ces racines.

2- Vous avez participé à trois éditions du challenge Nice Mont Ventoux, qu’en avez-vous retenu ?
Tout d’abord, le cadre du challenge est fabuleux. J’avais dans le passé roulé au Ventoux ou dans l’arrière-pays Niçois que ce soit à l’entrainement ou dans le cadre d’épreuves. J’adore ces deux sites et les relier est encore plus magique. Par ailleurs, j’apprécie énormément les courses à étapes, ce sont celles qui nous sortent vraiment de la pression du quotidien. Enfin, l’idée de partager cette passion du sport et du vélo dans un groupe trouve tout son sens dans une épreuve comme celle-ci.

3- Nice Mont Ventoux étant un challenge pour entrepreneurs, il serait intéressant que vous présentiez votre société. Dans quel est le secteur d’activité travaillez-vous, et où est basée votre entreprise ?
Je suis associé d’un cabinet d’avocats, Arsene Taxand, qui est spécialisé dans le conseil fiscal. Nous sommes une belle PME d’une centaine d’avocats qui réalise 30M€ de chiffres d’affaires. Nous sommes adossé à un réseau de fiscalistes internationaux, Taxand. Tout cela fait que mon activité est très orientée sur l’international, elle s’appuie sur une équipe jeune d’avocats/consultants.

4- Le sport et/ou l’activité physique fait-il partie de la stratégie de votre entreprise (RH, communication, prévention…) ?
Petit à petit nous progressons dans ce domaine. Nous avons en 14 ans…, réussi à introduire une douche, installé notre cabinet dans un immeuble proche d’un Parc (Monceau pour ceux qui connaissent Paris) et passer un accord avec un gestionnaire de salle de sport. Notre équipe est jeune, elle est donc moins sensible au « wellness » qu’au « welldress ! ». Cela étant dit, une entreprise est aujourd’hui attendue sur ce terrain et j’essaye de sensibiliser mes associés à l’idée, dans un premier temps, d’offrir des possibilités à nos collaborateurs d’avoir une activité physique dans le cadre du cabinet. Chaque année nous progresserons, à notre taille. L’exemple vient aussi souvent d’en haut. Je ne médiatise pas mes activités mais j’essaye de les partager pour créer là aussi, de la motivation. Et je constate que pas à pas, cela marche.

 

5- Revenons à vous, quelle importance accordez-vous à la pratique du sport ?
Je n’ai vécu à Paris qu’à partir de 20 ans pour mes études, puis cette ville trépidante ne m’a plus quittée. Mais je garde dans mon patrimoine le goût pour le sport tant collectif qu’individuel. Pour moi, être bien dans sa vie est toujours passé par une « harmonie » sportive, quel que soit le sport. De ludique et exutoire, le sport avec le temps et l’âge s’est ouvert sur d’autres horizons : faire attention à son corps, repousser ses limites et ses interactions physique/mental, conserver une capacité de socialisation dans un univers plus simple et direct que celui du boulot ou du microcosme parisien… Le sport m’oblige à une forme d’équilibre, à faire attention à mon alimentation, ma préparation physique. C’est totalement vertueux. Par ailleurs, cela donne accès à la magie d’une épreuve qui se déroule parfaitement, d’une rencontre un matin avec un groupe de japonais égarés dans l’UTMB, d’une vision éthérée de la promenade des anglais au premier retour de bouée de l’Ironman, d’un chapelet de dunes sous la chaleur brûlante du Sahara : c’est en plein effort la contemplation d’images irréelles, de paysages à couper le souffle. C’est une manière de vivre la proximité avec la fantastique nature qui nous entoure. Et plus encore, quand maintenant je peux le partager avec ma femme Marie et bientôt avec mes enfants en espérant ne pas avoir trop décliné jusque-là 😉 !

6- A ce jour, où en es-tu dans ta préparation en vue du challenge ?
J’y vais tranquillement car j’ai une fissure au tendon d’Achille. Cela ne m’empêche pas de rouler, mais c’est un avertisseur de ralentir la cadence. Quoi qu’il arrive, j’adapterai mon train à mon niveau et je sais qu’avec cette organisation merveilleuse qui nous attend, il y aura toujours de la place pour ma forme du jour.

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